Episode 3.4 : Détente avant le retour ! Pour ceux et celles que cela intéresse, voici le sixième épisode relatant ici les deux derniers jours de mon troisième séjour à Kuala Lumpur. Bonne lecture à vous ! 😊 <h1><span style="color:#FFFFFF;">A la découverte de Kuala Lumpur…</span></h1><h2><span style="color:#FFFFFF;">Episode 3.4 : Détente avant le retour !</span></h2><hr /><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Après autant d’activités sur les 4 premiers jours de mon séjour, j’ai décidé de me poser davantage pour les deux derniers jours.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Suite au petit-déjeuner, je réalise qu’une grande partie de mon linge est sale et a besoin d’être lavé puis séché avant mon départ. Je décide de le réunir dans un grand sac puis de le déposer à la laverie de l’hôtel. Ils s’occuperont du reste et ramèneront directement le linge plié et repassé dans ma chambre le soir même avec le sac. 😉</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Ensuite, j'arpente le mall de l’hôtel et mon choix se porte alors sur les salons de soins du corps. Cette fois-ci, j’opte pour un salon différent de la première fois… tout simplement parce que le salon auquel j’étais allé la première fois était fermé au moment de ma venue.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Je décide de me fier à l’instinct et d’aller dans un autre endroit proposant de la réflexologie plantaire en plus de massages du dos. Je m’y rends et opte pour une formule mêlant réflexologie plantaire et massage du dos sur 1 heure et demie, formule me coûtant alors 105 ringitts (soit 21 €). Content de ma séance où je me suis même endormi, je déambule dans le centre commercial ensuite. Je déjeune alors dans un des restaurants du mall (mais je ne sais plus lequel).</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Ensuite, je ne me souviens pas très bien de ce que j’ai fait l’après-midi en dehors du </span><span> </span>fait d’avoir vu un stand de glaces « vegan » nommé « Kelava » et d’en avoir pris vers 16 heures. J’ai adoré la glace au gula melaka (dont j’apprendrais plus tard que ça signifie « sucre de palme ») et la glace à l’onde-onde (une pâtisserie malaisienne qui ressemble à ceci : <span>https://fr.wikipedia.org/wiki/Klepon</span><span style="color:#FFFFFF;"> ). Il me semble que chaque glace m’a coûté 9 ringitts (soit 1,80 €). </span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Vers 20 heures, voyant que l’hôtel offre aussi un service de massage, je décide de passer par lui et prend un massage d’une heure au cours duquel je m’assoupis aussi… c’est la masseuse qui me réveillera vers 21 heures pour me signaler la fin de la séance.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Après cela, je reviens à ma chambre d’hôtel et me met à réunir mes affaires afin d’être prêt à partir pour le lendemain. Il faut voir qu’à l’époque, la liaison directe Nouméa-Singapour n’existait pas. De fait, pour aller en Malaisie, il fallait passer obligatoirement par l’Australie… on ne pouvait pas réserver un Nouméa-Kuala Lumpur sur le site d’Aircalin comme on peut le faire depuis que la liaison avec Singapour s’est ouverte l’an dernier ! J'avais dû passer par AirAsia et Qantas pour ma réservation.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Là, voulant être sûr que mes bagages suivent jusqu’à Nouméa sans que je n’aie à sortir de la zone de transit en Australie, j’ai dû prendre un vol AirAsia jusqu’à Denpasar, puis deux vols Qantas Denapasar-Sydney et Sydney-Nouméa pour rentrer. Le vol étant prévu à 14h30, je devais donc partir au plus tard à 10h30 de l’hôtel pour être sûr d’être à l’aéroport 3 heures avant.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Le lendemain, à 9 heures, j’appelle celui à qui j’ai loué la suite. Il arrive alors, je lui rends ma carte-clé et lui la caution de 200 ringitts (40 €) à déposer obligatoirement. Je prends ensuite un taxi vers la gare centrale de Kuala Lumpur, puis le KLIA Express vers le terminal 2 de l’aéroport… Je repars donc à Nouméa seul.</span></p><p style="text-align:justify;">Le premier vol de Kuala Lumpur à Denpasar se déroulera sans aucun problème : le personnel de bord est toujours aussi gentil, le nasi lemak est toujours aussi bon, le siège est toujours aussi confortable... L'attente à Denpasar sera longue... j'avais prévu 5 heures de battement, mais notre vol AirAsia est arrivé en avance. </p><p style="text-align:justify;">Prenant vite fait de quoi manger dans un des restaurants indonésiens de l'aéroport, je prends ensuite le vol pour Sydney. On est alors au début du COVID et voyant qu'une famille asiatique s'assied juste à côté de moi avec des masques et que ces derniers toussent assez fortement et bruyamment, une jeune femme (qui s'avérera être la chef de cabine) vient spontanément me voir et me dit (en anglais) : "Vous voyagez seul ?"</p><p style="text-align:justify;">Moi : "Oui, pourquoi ?"</p><p style="text-align:justify;">L'hôtesse : "Ecoutez, il y a une place libre vers le fond de l'appareil, je pense que vous serez plus confortable là-bas. Est-ce que vous souhaitez vous y installer ?"</p><p style="text-align:justify;">Moi : "Merci beaucoup, je prends mes affaires et j'arrive."</p><p style="text-align:justify;">Je ne saurais jamais vraiment pourquoi c'est tombé sur moi ce jour-là. Peut-être est-ce mon sourire ? Peut-être est-ce le fait de voir les gens à côté de moi tousser très fort ? Elle avait peut-être peur que je contracte le COVID à cause d'inconnus, qui sait ? Mais en tout cas, j'ai effectivement été un peu plus confortable.</p><p style="text-align:justify;">Je suis cependant arrivé à Sydney très fatigué au point que sur le Sydney-Nouméa opéré par Aircalin, j'ai surtout dormi... donc, je ne pourrais pas vous en dire grand chose !<span style="color:#FFFFFF;"> J’ignorais alors que ce voyage serait le dernier avant un moment.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Un mois plus tard, je viendrais chercher mes parents à l’aéroport et à peine 3 jours après leur arrivée… le premier confinement suite au COVID intervint et la fermeture de l’espace aérien calédonien fut imminente.</span></p>