LES + ET LES - DES MUTILATIONS GÉNITALES FÉMININES 📆 6 février <p><strong>Le 6 février, depuis 2003, se tient la Journée internationale de la tolérance zéro à l'égard des mutilations génitales féminines (MGF). Cette journée vise à sensibiliser le monde à cette pratique néfaste et à encourager des actions pour y mettre fin.<br /></strong><br /><br />◤<em>🤔 Oui, le titre est un peu risqué, voir putaclic, mais si on parle encore aujourd'hui de telles pratiques, c'est qu'il doit y avoir au moins un +... ou pas 😒</em>◢<br /><br /><br />Les mutilations génitales féminines sont des interventions qui consistent en l'ablation partielle ou totale des organes génitaux féminins externes pour des raisons non médicales. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) distingue quatre types principaux de MGF : la clitoridectomie, l'excision, l'infibulation et d'autres formes non classées.<br /><br /><br />◤<em>🤔 Ce sujet risque de casser l'ambiance pendant la pause café mais voilà bien une journée internationale qui a du sens. Non !? 😳</em>◢<br /><br /><br />𝗟𝗘𝗦 -<br /><br />L'ablation partielle ou totale du clitoris est souvent pratiquée dans des conditions dangereuses et non médicales. Elle est généralement réalisée par des exciseurs traditionnels sans formation médicale, à l'aide d'instruments rudimentaires comme des couteaux ou des lames de rasoir. L'opération se déroule fréquemment sans anesthésie, dans un environnement non stérile, et sous une forte pression sociale et culturelle.<br /><br />Les conséquences pour la fillette, puis la femme, sont graves et multiples. À court terme, elles incluent une douleur intense, des hémorragies potentiellement mortelles, des infections et un état de choc. À long terme, les femmes peuvent souffrir de douleurs chroniques, d'infections récurrentes, de complications lors de l'accouchement, de troubles de la sexualité et de traumatismes psychologiques importants.<br /><br /><br />𝗟𝗘𝗦 +<br />🤔🤔🤔<br /><br /><br />L'ablation partielle ou totale du clitoris est pratiquée pour diverses raisons culturelles, sociales et traditionnelles. Parmi ces raisons figurent le contrôle de la sexualité féminine, la pression sociale, la perception des MGF comme un rite de passage, des notions erronées de propreté et d'esthétique, des croyances infondées sur la fécondité, et l'idée que ces pratiques sont exigées par la religion (ce qui est faux). Malgré les efforts pour y mettre fin, la tradition culturelle reste un facteur important dans la perpétuation de ces pratiques.<br /><br /><br /><br />◤<em>Hey 🖐️, je suis Dominique Bousseau, alias b1001d. Je crée des contenus tout en constituant un almanach en ligne. <br />Un peu de lecture </em><strong><em>... le temps d'un café</em></strong><em> https://ko-fi.com/b1001d</em> ◢<br /><br />Photo Wikipédia.</p>