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Yukiko Motoya, mariage contre-nature.

sae - Qwice 2025

Yukiko Motoya, mariage contre-nature. <p></p><p style="text-align:center;"><strong><em>Bonjour et bienvenue dans les chroniques de Sae !</em></strong></p><p>On se retrouve ce matin pour la chronique d’un livre assez court (118 pages) de Yukiko Motoya, mariage contre-nature.</p><p>Ce livre étant très court, je l’ai lu d’une traite et j’ai même trouvé le temps de rédiger un petit article sur les Light Novel. Un genre de roman que j’apprécie particulièrement, d’ailleurs dans quelques heures, je vais aller acheter le coffret collector du tome 1, des carnets de l’Apothicaire.</p><p>Avant toute chose, sachez que je sais que ma PAL me juge, je la vois tous les jours. Sachant que j’ai craqué pour un livre qui me faisait de l’œil en sortant de la Banque.</p><p>Après, pour ma défense, la librairie est vraiment trop proche de la Banque &gt;&lt; oui je sais, c’est pas du tout crédible.</p><p>Mais bon, je ne suis pas là pour ça, mais pour faire ma chronique avant d’aller me coucher ou avant de retourner sur FF7.</p><p>Ça va être drôle d’ailleurs au cinéma. Oui, je vais aussi voir le film Overlord : The Sacred Kingdom. Normalement, vu qu’on va le voir en V.O est que ce n’est pas une licence ultra populaire, il ne devrait pas y avoir trop de monde.</p><p>Mais passons et rentrons dans le vif du sujet</p><p></p><p style="text-align:center;"><strong>Mon résumé</strong></p><p>San est femme au foyer et sa vie s’écoule lentement, mais tout change le jour ou son mari commence à changer.</p><p></p><p style="text-align:center;"><strong>Mon Avis</strong></p><p>Ce livre est étrange, déroutant, empreint d’un univers propre à l’archipel Nipponne. Je pense que certains éléments ne peuvent pas être compréhensibles, si on n’a pas une connaissance certaines des mœurs/symboles japonais.</p><p>Après, j’ai apprécié l’écriture de l’autrice qui reste légère et adopte les codes des romans cosy japonais. De plus, Yukiko Motoya réussit le pari fou de nous écrire un livre sans aucun moment superflu, chaque action s’enchaîne et évoque des tableaux.</p><p>Lire ce livre, c’est passer d’un tableau à un autre, de la montagne au logis.</p><p>C’est aussi s’immiscer dans le quotidien, de manière presque intrusive, dérangeante. Pour moi, cette œuvre me fait penser à instantanée d’Ambre de Yuko Ogawa.</p><p>La fin est d’ailleurs sujet à de nombreuses interprétations et je l’avoue que j’adorerais lire la critique/explications d’une personne spécialisée dans la culture japonaise.</p><p>Car je pense que ce fut à cause de la traduction ou d’éléments non-présent dans la culture occidentale, nous devons passer à côté de certaines choses. </p><p>Donc si un jour il y a une réédition de ce livre, un glossaire pour expliquer certaines subtilités ne seraient pas du luxe.</p>

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