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The Binding of Isaac : Repentance : Le Rogue Like ULTIME ?!

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The Binding of Isaac : Repentance : Le Rogue Like ULTIME ?! <h1>La critique de Violette :</h1>Sommaire : -Résumé et objectif du jeu. -C’est quoi l’histoire ? -Pourquoi c’est bien ? -Les problèmes. -Conclusion <h2>Résumé et objectif du jeu : </h2> Isaac est un rogue like crée par Edmund McMillen en 2011 et refait par l’équipe Nicalis en 2014 et d’autres personnes se rajouteront plus tard (vers 2018), le rogue like a pour principe la rejouabilité dû au hasard ! Le jeu est aussi traduit dans plusieurs langues dont le Français par @biobak64 (Twitter). Il fait évidemment référence au jeu Zelda sur NES dans un univers macabre et gore, il s’impose dans la lignée des jeux d’Edmund, un jeu avec un univers extrêmement immonde, immoral et dégueulasse. Chaque partie est différente et doit être possible à compléter, que ça soit la première comme la 1000 ! (Contrairement au rogue lite, qui lui propose un système d’amélioration et donc, quasiment impossible à finir au début). Le jeu a ainsi un principe de difficulté, plus on avance dans la partie, qui est unique à chaque fois, chaque étage propose des monstres et des spécificités à connaître ! Nous y trouvons alors des secrets, des astuces, des items, des chemins, des boss en fonction du biome. Au début de la partie, on ne commence souvent avec rien, juste Isaac avec 3 points de vie, son arme est de pleurer et alors, il faut pleurer sur les ennemis. Isaac a plusieurs modes de jeu, «normal/hard» «greed/greedier» «challenges» et «daily», chacun de ses modes devra être complété avec les 34 personnages disponibles ! Je vais donc résumer, dans l’ordre : -«Normal/hard», c’est le mode de jeu le plus basique d’Isaac, le principe même, dans celui-ci, on joue un personnage et se passe d’étage en étage en récupérant des items, le tout généré de manière aléatoire avec des milliards de possibilités ! On commence à la cave et on peut aller très loin, dépendant de l’avancement du jeu. Nous trouvons une vingtaine de fins différentes dans ce mode ! Chacune se débloquant d’une certaine manière en avançant dans la progression. -«Greed/greedier», le mode de jeu alternatif, intégré dans un dlc précédant Repentance, ici, ce sont des vagues de monstres rapportant de l’argent qu’il va devoir passer, chaque étage est composé d’une boutique où acheter des items, 2 salles offrants 1 item gratuit et une salle maudite où il faudra sacrifier 1 cœur pour y accéder. Il y a 11 vagues à finir, 10 obligatoires et 1 bonus pour débloquer une salle spéciale. -«Challenges», comme son nom l’indique, il y a plusieurs défis fait par les développeurs à surmonter pour débloquer de manière définitivement des objets dans le jeu ! 45 défis à passer, plus ou moins difficile. -«Daily», ce mode, un tantinet embêtant pour beaucoup de joueurs, est une partie prédéfinies qui changent chaque jour, pouvant avoir des règles spécifiques, une fin est indiquée et on doit y aller sans mourir, tout le monde joue la même partie.Pour finir ce jeu, il faudra donc valider tous les 34 personnages avec chaque objectif du jeu, ce qui est très long ! Compter environ 500 heures (Mon temps personnel est de 491h pour le 100%) pour un joueur expérimenté, mais encore plus fourbe, il faut avoir ramassé tous les items du jeu et battus tous les ennemis, pour donner un ordre d’idée, il y a 719 items à récupérer et débloquer ! De plus, chaque item est unique et modifie la partie en cours de manière définitive, tout en ayant, souvent, une combinaison avec des autres items, offrant en conséquence des possibilités incroyables et des mélanges improbables, tout ceci est créé à la main par les développeurs. Il faudra finir tous les challenges, faire 31 daily runs et encore, quelques petits secrets. Le total à débloquer est de 637.Il faudra compter un peu moins de 50€ pour obtenir le jeu complet (Vu qu’il se compose de 3 gros DLC) sans réduction.<h2> C’est quoi l’histoire ?</h2> Isaac a une base d’histoire connue, mais reste assez intriguant et très peu clair sur son narratif, il se mélange avec d’autres univers, sans oublier le nombre de fins possibles, modifiant ainsi le narratif. Je vais raconter, la base de l’histoire et aucune fin, laissant la surprise.Isaac est enfant, voir un bébé, vivant avec sa maman dans une campagne, cette mère fanatique de la religion, observe sur son téléviseur les différentes pratiques religieuses de manière quotidienne, quant à un certain moment, elle commence à entendre Dieu lui parler, ce dernier lui dit que son fils est une représentation de Satan, qu’il est maléfique et qu’il faut donc le contrôler, elle décide de l’enfermer, de lui retirer tous ses jouets et de le maltraiter au possible, sauf que cela ne suffit pas et elle entend de nouveau Dieu lui parler, demandant cette fois, de tuer son enfant, Isaac, observant par le trou de la serrure de la porte, décide de se cacher dans sa cave pour fuir sa maman. Cette base d’histoire est souvent reliée à la vie d’Edmund Mcmillen sur sa famille et la religion, plus tard, on apprend aussi l’histoire du père d’Isaac. Cependant, tout ce qui est dit n’est pas forcément la réalité d’Edmund, il s’en inspire, mais n’a jamais vraiment clarifié ce qui est vrai ou non. On peut trouver, dans le jeu, énormément de satire et de critique envers les religions, la société, la psychologie et les traumatismes d’enfances. <h2>Pourquoi c’est bien ?</h2> Ce jeu offrant des possibilités infini permet clairement de passer du temps, on peut y découvrir des choses après des centaines voir des milliers d’heures (Par exemple, si une mouche vole au-dessus d’un caca, elle se transforme en abeille, j’ai appris ça après plus de 1500 heures). Le gameplay est extrêmement addictif, le jeu peut se jouer sans aucun objectif, mais en offre tellement, que pour n’importe quel débutant, il pourra toujours savoir quoi faire ! En plus, c’est un jeu «Skill issue», en effet, pour relever la difficulté du jeu, il va falloir tout apprendre, connaître les moindres détails. Le jeu est extrêmement bien équilibré grâce au dlc Repentance, chaque partie est donc vraiment gagnable et si on perd, ce n’est que de notre faute. Il n’y a quasiment aucun bug actuellement.<ol><li> On a de ce fait 34 personnages, ils sont tous uniques offrant un début de partie très différents nous forçant à apprendre un autre style de jeu ! Par exemple, Jacob & Eseau sont 2 personnages qu’on contrôle en même temps, ce qui change énormément de mécaniques !</li><li>Le jeu fait des références constantes à la vie et la religion, si vous vous y connaissez, cela peut réellement vous plaire à dénicher toutes les subtilités.</li><li>La combinaison des items marche extrêmement bien et permet des possibilités incroyables et uniques, comme avoir un couteau avec un laser qui tourne autour de lui à la place de tirer des larmes.</li><li>Le bestiaire du jeu est travaillé et fournit, chaque étage offre des dizaines d’ennemis et plusieurs boss à connaître, tous les paternes sont esquivables et chaque salle sont prévus pour être possible sans prendre de dégât qu’importe notre équipement. On peut donc finir toutes les parties en « no hit ».</li><li>Il existe des personnages offrant une vraie difficulté juste, The Lost n’a pas de vie et il meurt dès qu’il se fait toucher, mais a des bonus, il peut prendre 1 dégât par salle gratuitement, il vole, il peut tirer à travers les murs et commence avec un objet actif pour relancer un item.</li><li>Le jeu écoute sa communauté, ça fait plus de 10 ans que le jeu est en développement et il prend en compte les retours de la communauté, il modifie les points négatifs et cherchent à avoir le meilleur équilibrage, il est traduit dans énormément de langues, il y a beaucoup de rajouts p