Episode 3.2 : Frère Banane ! Pour ceux et celles que cela intéresse, voici le quatrième épisode relatant ici le troisième jour de mon troisième séjour à Kuala Lumpur. Ce fut mon premier vrai séjour en solo et je parle donc, entre autres, de ce que j'ai pu manger là-bas, mais aussi d'une fonderie travaillant pour la couronne de Malaisie que j'ai eu l'occasion de visiter. Bonne lecture à vous ! 😊 <h1><span style="color:rgb(255,255,255);">A la découverte de Kuala Lumpur…</span></h1><h2><span style="color:rgb(255,255,255);">Episode 3.2 : Frère Banane !</span></h2><hr /><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">Après un petit-déjeuner dans ma chambre constitué de victuailles que je m’étais procuré la veille, à savoir quelques gâteaux indiens avec du mangoustan, je décide de visiter un autre endroit plus atypique : le « Royal Selangor Visitor Center » ou en français « le Centre pour Visiteurs de Royal Selangor ».</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">Royal Selangor est une fonderie qui travaille pour la couronne malaisienne et réputée pour générer parmi les meilleures créations au potin et en étain dans le monde (dans ce contexte, le potin n’est pas un ragot ou une rumeur… mais un alliage entre du cuivre, de l’étain et, parfois, du plomb).</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">Pour le coup, j’ai bien aimé la visite de ces différentes pièces en potin, étain et cuivre en compagnie du guide qui m'était attribué, un jeune chinois dont j'ai oublié le prénom. Je m’étais aussi inscrit à un atelier où, en tapant sur une plaque en étain avec un marteau puis un outil plus précis, j’ai pu confectionner une sorte de bol avec mes initiales inscrites au dos. Il y avait un autre atelier pour créer ta propre pièce en étain en allant directement dans la fonderie, mais ça me tentait moins personnellement… Je n'étais pas nécessairement tranquille à l'idée de manipuler du métal en fusion.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">N'ayant pas à me soucier du transport vu qu’une voiture privée venait nous chercher puis nous ramener directement à l’hôtel, je serais donc de retour au Berjaya pour 13 heures.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">Pour le déjeuner, en explorant les restaurants du sous-sol au Berjaya, je trouve « Bananabro » (« bro » étant l’abréviation de « brother » en anglais, soit « frère » et « banana » signifiant « banane », c’est ce qui justifie le titre de cet épisode), un restaurant avec de la nourriture type indienne dont le concept est de manger des plats sur des feuilles de bananier. Je regarde les prix qui sont alors très raisonnables (</span>https://www.bananabro.com.my<span style="color:rgb(255,255,255);"> ).</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">Je décide de m’y restaurer pour prendre un set d’accompagnements (riz et légumes qu’on peut demander à ravoir autant de fois qu’on souhaite si on paie un supplément de 4 ringitts) et un poulet au curry. J’en profite pour prendre aussi un Teh Tarik en boisson ce qui me revient au final à 30 ringitts (soit 6 €), supplément inclus.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">Sachant qu’à Nouméa, une barquette de riz standard avec du poulet au curry (souvent mélangé lui-même à des pommes de terre et des carottes) coûte entre 850 et 1200 FCFP (soit entre 7,12 et 10 €) sans boisson et sans ravoir du riz et des légumes à volonté, je peux vous dire que j’étais très content du prix.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">Je tâcherais d'ailleurs de vous prendre une photo au prochain séjour pour vous montrer un peu à quoi ressemblent les plats de ce restaurant… car je compte y retourner personnellement. 😊 Bref, revenons au récit…</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">Après ce bon repas, je décide de prendre soin de moi. Ainsi, je vais à un salon où j’ai droit à une manucure et une pédicure pour 50 ringitts (environ 10 €). Puis, un peu plus loin, je remarque un salon de massage où on me demande 90 ringitts (environ 18 €) pour 1h30 de massage du corps ce que j’estime raisonnable.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">Seulement, il faut savoir que si ces massages peuvent parfois être douloureux, c’est après qu’on en ressent les bienfaits… Personnellement, si j’ai eu un peu mal au début, cela m’a fait beaucoup de bien après.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">Je me rappelle qu’ensuite, vers 17 heures, suite au long massage d'une heure et demie, je me sentais un peu fatigué… je suis donc revenu dans ma chambre, me suis étendu sur le lit et puis après, plus rien jusqu’à 19 heures 30 où je me suis réveillé.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:rgb(255,255,255);">Réalisant l’heure, je repars de ma chambre et irait dans un restaurant malaisien du mall pour y dîner. Je me souviens juste que c’était très bon, mais je suis incapable de me souvenir de ce que j’ai mangé. Et puis, après avoir flâné dans le mall, j’en pars vers 21h30 pour remonter à ma chambre et me coucher.</span></p>