<p style="text-align:center;"><strong><em><span>Bonjour et Bienvenue dans les chroniques de Sae !</span></em></strong></p><p style="text-align:center;"></p><p><span>Dernière chronique avant mon départ pour ma ville natale (joie) pour passer les fêtes avec ma mère. Et surtout avant de faire mes derniers achats, rendre des livres que j’ai empruntés à la bibliothèque et en emprunter pour la fermeture annuelle même s’il me reste une belle petite PAL.</span></p><p><span>Mais bon, j’ai encore pas mal de livres qui me font de l’œil et vu les prix du train, je pense de plus en plus à opter sur un trajet plus long que le TGV.</span></p><p><span>Donc qui dit trajet long dit… Lecture pour le meubler ! Mes playlists sont d’ailleurs toutes sur mon téléphone prête à l’emploi. Et j’ai aussi mon carnet noir qui m’accompagne ainsi que de quoi écrire (d’ailleurs faudrait que je pense à mes cartes de vœux moi).</span></p><p><span>D’ailleurs, en parlant d’écrire, je parle, je parle. Mais je n’ai pas encore présenté encore le livre que je vais présenter qui est un « classique » contemporain dont la plupart d’entre vous ont dû au moins une fois entendre le nom.</span></p><p><span>Je veux bien sûr parler des cerfs-volants de Kaboul de Khaled Hosseini qui a obtenu le prix Elle - Grand Prix des lectrices - Roman – 2006 en France et d’autres distinctions aux USA.</span></p><p></p><p></p><p style="text-align:center;"><strong><em><span>Résumé</span></em></strong></p><p><span>Amir est le fils d’un riche et Hassan son serviteur, les deux enfants frères de lait partagent une passion commune : les Cerfs Volants qui les lient.</span></p><p><span>Mais tout change le jour où Hassan subis le dernier des outrages et Amir pétrifié s’enfuis. Laissant son ami subir sans un mot.</span></p><p><span>Toute sa vie durant, Amir s’en voudra jusqu’au jour ou un mystérieux appel du Pakistan lui fait comprendre qu’il peut laver sa faute…</span></p><p><span>Si vous avez lu cet ouvrage, vous pouvez passer le résumé et aller directement à mon avis.</span></p><p><span>Sinon…</span></p><p></p><p style="text-align:center;"><strong><em><span>Mon avis</span></em></strong></p><p style="text-align:center;"></p><p><span>L’auteur prend son temps pour bien planter le décor, ce moment, où l’auteur narre la jeunesse de ces deux personnages, peut sembler long, mais il est nécessaire.</span></p><p><span>Afin de bien comprendre les enjeux et aussi de faire en sorte qu’on s’attache à chacun des personnages et que surtout, on puisse comprendre et voir le contraste entre la Kaboul du passé (1975) et la Kaboul « actuelle » au moment du retour d'Amir au pays (année 2000).</span></p><p></p><p><span>Le fait d’avoir passé du temps à tout décrire offre une véritable vision entre le Kaboul du passé, moderne et coloré et le Kaboul de présent envahit par les talibans sombre et délabré.</span></p><p><span>Ces descriptions nombreuses, qui peuvent rebuter, ont une utilité et montre que l’auteur à un véritable talent d’écriture.</span></p><p></p><p><span>Même si, j’ai été déranger par le fait que le fait qu’autant l’auteur prenait son temps en début de roman, autant dès qu'Amir se retrouve aux USA le roman s’accélère.</span></p><p><span>Comme si, Khaled Hosseini avait peur de ne pas réussir à intégrer tout ce qu’il voulait dire. Cela m’a d’ailleurs un poil dérangé, car c’était comme si le texte était déséquilibré dans sa temporalité.</span></p><p></p><p><span>Dans la deuxième partie du livre, j’aurais aimé plus de détails sur la déchéance de Kaboul non pas par voyeurisme malsain, mais pour bien profiter de la dichotomie entre les deux Kaboul.</span></p><p><span>Après, malgré le fait que j’ai eu quelques déceptions les cerfs-volants de Kaboul ne sont pas un mauvais livre loin de là !</span></p><p><span>La fin n’est pas mièvre, même si l’auteur à utiliser pas mal de ficelle scénaristique pour amener son personnage là où il le voulait.</span></p><p></p><p><span>Néanmoins, même si certaines choses sont prévisibles, ce livre reste quand même un bon roman qui est une bonne introduction à la littérature afghane .</span></p><p></p>