SLOG90 - Qwice

Episode 3.3 : La revanche du durian ! Pour ceux et celles que cela intéresse, voici le cinquième épisode relatant ici le quatrième jour de mon troisième séjour à Kuala Lumpur. Ici, on va un p

SLOG90 - Qwice 2024

Episode 3.3 : La revanche du durian ! Pour ceux et celles que cela intéresse, voici le cinquième épisode relatant ici le quatrième jour de mon troisième séjour à Kuala Lumpur. Ici, on va un peu plus parler du Berjaya, mais aussi de nourriture car le durian fait son grand retour dans l'arène (et dans mon estomac aussi 😅) ! Cela se terminera-t-il bien pour moi ?😱 Vous en saurez plus en lisant ce texte. Bonne lecture à vous ! 😊 <h1><span style="color:#FFFFFF;">A la découverte de Kuala Lumpur…</span></h1><h2><span style="color:#FFFFFF;">Episode 3.3 : La revanche du durian !</span></h2><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Si j’arrive à vous conter jour par jour ce que j’ai fait jusqu’ici, c’est en me basant sur mes souvenirs. Mais le souci, c’est que ces souvenirs sont à géométrie variable. Autant pour certains jours, je me rappelle en détail de ce que j’ai fait… autant pour d’autres, c’est bien plus délicat pour moi de me remémorer de ce qui s’est précisément passé.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Et, justement, pour ce jour-là qui est le 4ème jour de mon 3ème séjour à Kuala Lumpur, la page est quasiment vierge dans ma mémoire. Les seuls souvenirs que j’ai à ce sujet concernent le « food tour » que j’ai fait ce jour-là, mais me remémorer précisément ce que j’ai fait avant s’avère plus délicat.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Le plus probable, si ça ne me revient pas en mémoire, c’est que j’ai dû passer du temps dans le Berjaya Times Square à flâner dans les allées du centre commercial... parce que lors de ce 3ème séjour, en vérité, j’y ai passé pas mal de temps. En effet, avec 11 étages remplis de boutiques en tout genre, il y a de quoi faire… aussi, j’avais besoin d’avoir une vraie pause avant de reprendre et c’est pour cela que je n’ai pas nécessairement fait des visites de musées ou de monuments à un rythme effréné. Aussi, il y a quelques petites choses insolites dans ce mall.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Entre autres choses, un des escaliers menant du « G » (pour « Ground », soit rez-de-chaussée) au « LG » (pour « Lower Ground », soit sous-sol ou rez-de-chaussée inférieur selon les traductions) est coloré comme un clavier de piano et selon les marches sur lesquelles on va, différents sons correspondant aux notes de musique sont émis…</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">A l’étage « G » aussi, il y a un petit train qui passe dans tout l’étage et dans lequel les enfants peuvent aller avec les parents pour faire le tour de l’étage et, plus haut, au 5ème étage, on trouve l’entrée du parc d’attractions du centre commercial. Au 3ème étage, il y a une petite piscine à bulles avec un grand toboggan pour les enfants et carrément toute une série de magasins organisée sous la forme d’un « mini-Chinatown », etc.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">En résumé, il y a largement de quoi explorer à chaque étage… Ne me rappelant pas du détail de ce que j’ai fait toutefois, avançons jusqu’au moment où, après avoir pris un taxi vers 16h40, je me retrouve dans le hall d’attente d’un autre hôtel où notre guide pour le « food tour » nous attend pour débuter le circuit à 17h30.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Faris, un chef cuisinier malaisien, nous servit de guide et nous fit faire le tour de Kuala Lumpur via différentes spécialités culinaires (ouais, on mange beaucoup sur ce food tour mais on marche beaucoup… et il fait plus de 30°C aussi ^^’). Je me souviens que le tour a commencé par la visite du marché où Faris nous a montré différents fruits locaux comme le mangoustan, le ramboutan, la mangue et d’autres fruits intéressants dont le nom m’échappe.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Ensuite, sortant du marché, on s’est dirigé vers un stand de cendol pour y déguster chacun un cendol un peu spécial : du cendol au durian ! Le guide nous donne alors à chacun une coupe remplie de ce dessert. Mais ayant un passif assez délicat avec le durian, je me montre initialement réticent à l’idée de goûter cela.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Le guide me demandant ce qui pose problème avec ce dessert, j’explique à Faris ma première expérience du durian. Et là, surpris, il me répond : « Des chocolats au durian ? C’est bien la première fois que j’entends parler de ça… »</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Moi : « Ah bon ? »</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Faris : « Oui, c’est plus un attrape-touriste qu’une spécialité typiquement malaisienne. Tu m’aurais parlé des dodols au durian (voir </span><span>https://mykitchen101en.com/kuih-dodol-durian-chewy-and-sweet-glutinous-rice-durian-cake/</span><span style="color:#FFFFFF;"> pour référence), c’est déjà plus typique, bien qu’on puisse les faire avec d’autres parfums. Mais, des chocolats au durian, c’est plus du marketing que quelque chose de typiquement malaisien ! Je suis sûr que si tu demandes à des locaux, ils n’en auront jamais entendu parler.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Par contre, le cendol au durian, c’est autre chose et c’est typiquement malaisien… Le cendol est très sucré, mais aussi doux au vu du lait de coco et du sucre de palme qu’il contient. Donc, ça va venir contrebalancer la saveur un peu particulière du durian et l’équilibrer. Ce n’est pas du tout la même chose. Essaie au moins d’en prendre une cuillère et si tu n’aimes pas, tu pourras toujours le laisser. »</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Je décide donc de redonner sa chance au durian dans le cendol, prend une cuillère à soupe, la trempe dans ce cendol au durian en prenant une bonne cuillère remplie de lait de coco, de sucre de palme, de chair de durian, de nouilles de riz vertes, de maïs et d’haricots rouges… et puis je goûte.</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Et là, effectivement, malgré le goût assez fort du durian et son odeur repoussante, ma bouche n’est pas agressée par la puanteur du durian comme elle le fut lors du 1er séjour. Comme l’avait expliqué Faris, au final, ça s’équilibre au point que je reprends une 2ème, une 3ème, une 4ème cuillère jusqu’à presque manger la moitié du pot de cendol qui m’était attribué ! Je n'ai pas tout mangé, car vu le programme qui nous attendait, je m’étais dit qu’il valait mieux éviter de tout manger à chaque fois. ^^’</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Le reste du « food tour » ira de découverte en découverte… en tout, Faris nous a fait découvrir 13 mets différents. Personnellement, je dirais que j’ai retenu deux autres spécialités : le « burger malaisien » fait en direct devant nous dans un stand de rue et le riz bleu dans un restaurant qui l’accompagnait avec des fruits de mer épicés (voir ici cet article en français pour avoir plus de précisions sur ce riz : </span><span>https://www.lecho.be/sabato/gastronomie/du-riz-bleu-oui-ca-existe-et-c-est-bon/10293002.html</span><span style="color:#FFFFFF;"> ).</span></p><p style="text-align:justify;"><span style="color:#FFFFFF;">Et puis vient l’heure de rentrer. Notre guide nous explique où se trouve la station de métro la plus proche, mais je galère à la trouver… Heureusement, je finis par retrouver mon chemin et, ô chance, la station à laquelle j’arrive est sur la même ligne de métro qu’Imbi, la station de métro face au Berjaya. M’assurant de prendre la ligne dans le sens pour aller vers Imbi, je reviens donc au Berjaya fourbu mais content aux alentours de 22 heures et pars me coucher.</span></p>

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