Bonjour et Bienvenue dans les critiques de Sae Ce soir, j’ai décidé de vous présenter un livre d’un auteur que j’ai déjà vu passer par ici, mais qui est d’ordinaire plus connus pour ces ouvrages traitant de la philosophie. D’ailleurs étrangement, j’ai mis assez peu de temps à la lire et je pense que cette pièce avec nos moyens actuelle pourrait être bien mieux réalisé qu’à l’époque et la scène de fin doit être bien épique avec les effets spéciaux que notre ère moderne possède. Mais je m’égare, pas que mon coin soit dépourvu de scène ou je pourrais sans doute admirer cette œuvre, mais j’avoue sans honte qu’il y a bien longtemps que je ne suis pas allée au théâtre. Par flemme sans doute, car contrairement au cinéma, j’ai toujours cette image vieillotte de ces lieux qui nécessite selon moi tout un rituel de préparation ou tout simplement le fait qu’on ne peut aller voir une pièce sur un coup de tête. Mais qu’à cela tienne, étant de temps à autre sur la Capitale peut être un jour aurais je l’envie d’aller voir cette pièce. Et je commenterais ici-bas, les émotions que celle-ci m’a fait ressentir. Résumé La pièce de Sénèque, grand philosophe de son temps : Médée reprend la fin de l’histoire de celle-ci ou plutôt sa vengeance. Mon Avis Médée est une femme, une sorcière, bafoué par un homme qui la trahit de la plus horrible des façons. Certes, elle est dépeinte comme un monstre qui n’hésite pas à tuer de la plus horrible des façon sa rivale, ainsi que ces enfants. Pour moi, Médée, tel qu’elle est décrite par Sénèque, est puissante, indomptable, ivre de colère et de vengeance. En somme, une femme trompée qui a tout sacrifier pour un homme et qui est à son tour sacrifier par celle-ci. Jason est d’ailleurs dans ce récit une figure secondaire, ce qui est d’après moi très appréciable. Toute la lumière, ou devrais, je dire les ténèbres sont focaliser sur Médée qui à travers le texte qu’elle déclame nous offres un chapelet de malédiction et d’incantations qui loin d’être ridicule nous font frissonner d’effroi. Sa sortie d’ailleurs est au de là du théâtrale, le seul fait que je trouve dommage, mais je pense que c’est par ce que je lis cette pièce et non je la vois est la mise à mort de ces enfants qui semble se faire rapidement, sans sentiments. Hormis ça, que ce soit les chœurs dont les champs lyriques, nous rappels comment Médée a sauver Jason, ainsi que le tragique destin des Argonautes ayant sauvé Jason dans sa folie ou la nourrice qui tente tant bien que mal d’arrêter Médée dans cette mise à mort sordide. Tout est fait pour en quelque sorte, sublimer la vengeance de Médée qui telle une reine part en laissant derrière elle, la mort et désolation.