La Vague qui vient Daniel Fohr Bonsoir et bienvenue dans les chroniques de Sae Aujourd’hui, je reviens pour la chronique d’un livre de Daniel Fohr: La Vague qui vient. Un livre que j’ai mis beaucoup de temps à lire pour plusieurs raisons.Dont certaines que je vais évoquer dans ma critique, hormis ça, je continue à faire baisser ma PAL qui a encore grossi. Alors que j’avais commencé doucement à la faire diminuer, faut dire aussi qu’entre le bookclub et les longue soirées très froides…Se lover dans un plaid ou sous la couette dès le coucher du soleil est très vite devenu une habitude.C’est entre autres pour m’évader du froid et du temps morose que j’ai voulu lire un livre évoquant la douceur des îles…RésuméUn artiste, victime d’un revers de fortune (sa dernière BD a fait un flop.) se retire sur une île.Sa vie suite à cette déconvenue s’étiole doucement jusqu’au jour où le Maire de l’île lui propose de peindre une grande fresque sur les murs de la salle des fêtes.Mon AvisAvant toute chose, je tiens à spécifier que je suis très friande des livres « tranches de vie », c’est un genre que j’adore. Donc, instinctivement, j’ai été attiré par ce livre et…J’ai été déconcerté, oui, c’est un livre tranche de vie comme je les aime. C’est un livre qui invite à la contemplation, chaque micro détail de l’île et du caractère de ces habitants est évoquer.Et c’est là que le bât blesse, le fond de l’histoire est intéressant. Mais trop de détails tue les détails.L’auteur se perd dans des pages de descriptions et loin de permettre de s’immerger dans le roman. Cette masse d’information fait qu’on se perd rapidement dans un récit qui pourtant est bon !Le synopsis est bien, la fin est magnifique. Mais l’écriture est trop lourde. Pourtant, l’auteur tenait un très bon sujet.