Mauvaise blague pour les linuxiens. Mais pour être franc si je voyais bien que c'était une arnaque, je ne comprends rien à ce charabia, j'ai pas touché un terminal Linux depuis mes études. Alors chat gpt mon fidèle assistant explique tout ça ! <p>La commande :(){ :|:& };: présente dans l’image est une fork bomb, une attaque de déni de service qui exploite la récursivité pour submerger un système Linux en générant un nombre exponentiel de processus.</p><p>Décomposition de la commande</p><p>1. :() { ... }:</p><p>Définit une fonction : (nommée avec un caractère spécial :)</p><p>Le corps de la fonction est entre {}.</p><p></p><p>2. : | : &:</p><p>La fonction s’appelle elle-même (:).</p><p>Elle se duplique en exécutant deux copies d’elle-même :</p><p>: passe la sortie (|) comme entrée à une autre instance de :.</p><p>& exécute le processus en arrière-plan, permettant à l’exécution de continuer sans attendre la fin du processus fils.</p><p>3. ;</p><p>Termine la définition de la fonction.</p><p>4. :</p><p>Exécute immédiatement la fonction, déclenchant l’explosion exponentielle.</p><p>Effets sur le système</p><p>Chaque processus crée deux autres processus.</p><p>La croissance est exponentielle (2, 4, 8, 16, …).</p><p>Très rapidement, le système atteint la limite du nombre maximal de processus, empêchant l’ouverture de nouvelles sessions ou l’exécution de commandes.</p><p></p><p>La machine devient inutilisable et peut nécessiter un redémarrage forcé.</p><p>Comment se protéger ?</p><p>Définir une limite de processus par utilisateur avec ulimit -u [nombre_max].</p><p>Restreindre les privilèges pour empêcher l’exécution de scripts malveillants.</p><p>Conclusion</p><p></p><p>Cette blague joue sur le fait qu’un utilisateur naïf pourrait essayer de "taper le nom du chat" dans son terminal, provoquant un crash de son système. C'est une référence humoristique pour les connaisseurs en Linux, mais il ne faut jamais exécuter cette commande sur un système important.</p>