Une peinture d'Anton Ebert (1845 - 1896), « Par la fenêtre de mon atelier à Vienne » qui stimule l'imaginaire. <p style="text-align:left;">Au lieu de nous inspirer des histoires ou situations humaines comme les œuvres de Edward Hopper (je mets en 2ème image une de ses œuvres les plus connues), elle suscite des questions par la richesse de ses perspectives et des "anomalies" qui titillent.</p><p style="text-align:left;">Perspectives :</p><p style="text-align:left;">le miroir de gauche, la pièce et la vue au-delà de la fenêtre.</p><p style="text-align:left;">Un contraste entre la pièce sombre et les jardins luxuriants.</p><p style="text-align:left;">Éléments intrigants : pourquoi des peintures décrochées ? Le pièce ressemble à une mise en scène, quel est le message ?</p><p style="text-align:left;"></p><p style="text-align:left;"></p>