Sur les réseaux sociaux, 1 % des comptes génèrent à eux seuls 33 % du contenu, phénomène dit de super spreaders, super diffuseurs souvent marqué par une radicalité qui déforme le débat public. "Tout n’est pas forcément faux mais le flot d'informations et la vitesse à laquelle elles circulent tendent à favoriser le vraisemblable au vrai " remarque Gérald Bronner.