C'était un petit test car récemment j'étais à la City Pop de Paris, une convention qui réunis des illustrateurs (d'intasgram majoritairement). <p style="text-align:left;">Ça m'a réconforter dans le fait que peut-être je peux vivre de mon art (pas de ce dessin en l'occurrence que je déteste par ailleurs). Parce que je vois bon nombre de créateurs où je me dis : " Des gens achètent ça !?" </p><p style="text-align:left;"></p><p style="text-align:left;">Je suis peut-être trop sévère envers moi même et ma pratique mais avec mes études et la réalité professionnelle il y a un gouffre immense. On m'a toujours mis la pression de toujours aller plus loin, il faut travailler sans relâche au point d'être malade. </p><p style="text-align:left;"></p><p style="text-align:left;">Ce qui m'est arrivé cette année, j'ai travaillé au point d'être malade et de ne pas dormir sans parler de nombreux autres problèmes mais malgré tout de stresser car j'avais l'impression d'avoir rien fait. Mais c'est faux, en réalité on ne demandera jamais d'être le Franquin de demain. Maintenant du coup je vais à mon rythme et j'ai pour objectif de vraiment me lancer sur les réseaux pour par la suite créé une forme "de communauté". </p><p style="text-align:left;">Je veux juste vivre de mon art et amuser la galerie. 🙂</p>