Petit Préambule avant de débuter cette critique qui m’a pris de nombreuses heures, car l’air de rien ce livre à embraser Twitter et le sujet qu’il évoque est assez délicat. Dans un premier temps je tiens à m’excuser si mes propos ou les propos que je vais rapporter via ce livre heurt la sensibilité de quelqu’un. De plus, ce livre parle d’une MINORITE et non de la majorité des Trans. <p>Re Bonsoir et Re bienvenue dans les critiques de Sae !</p><p>Je préviens aussi que les termes abordés seront assez lourd (sexualité, viol), donc pour alléger l’atmosphère j’utiliserais de temps à autre un petit personnage appelé Robert/Catherine qui est la caricature parfaite du trans activiste qui sévit sur Twitter (si vous savez ceux qui hurlent TERF, dès qu’ils voient une femme.).</p><p>Sur se passons au vif du sujet</p><p>Donc oui, le préambule est assez long, mais je me devais d’expliquer correctement ce que ce livre est et surtout de mettre fin à plusieurs idées reçues.</p><p>Mais avant toute chose, le mieux pour que vous compreniez ce livre et ce qui a amener à son écriture est que je vous présente ces deux autrices :</p><p>Marguerite Stern, ancienne Femen et militante pour la cause des femmes à travers des collages dénonçant les féminicides ainsi que les violences conjugales.</p><p>Dora Moutot, autrice de deux ouvrages de son côté : a l’air de pet et Mâle Baisée, ainsi que la créatrice de l’Instagram @tasjouis ?</p><p>Ces deux féministes vivaient leurs vies tranquilles enchaînaient les contrats et les partenariats divers, jusqu’aux jours ou elles furent accusées de ne pas être assez inclusive. De refuser de ne pas parler de pénis de femme et d’inclure les trans femmes dans leurs combats. Ces "erreurs" les mirent dans la catégorie TERF (Trans-exclusionnary-radical-feminist).</p><p>C’est cette exclusion qui les a menées à s’interroger sur le phénomène Trans qui est très loin d’être anecdotique.</p><p></p><p style="text-align:center;"><strong>Résumé</strong></p><p>Cet essai est une enquête sur le phénomène transgenre, c’est une enquête vaste et très prenante.</p><p>Et non Transphobe, mais je pense qu’à la fin de l’analyse/Résumé vous aurez votre propre avis sur la question.</p><p><strong>Analyse et Résumé Détaillé</strong></p><p><strong>Meet Robert</strong></p><p>Alors qui est ce Robert/Catherine qui va nous accompagner de temps à autre dans cet essai ? Eh bien, Robert est un homme qui s’imagine Femme dans un premier temps et nous allons suivre tout son cheminement. Déjà dans un premier temps, avant toute chose… Comment Robert en est arriver à se penser femme ?</p><p></p><p style="text-align:center;"><strong>Partie 1 Transitionner Qui, Quand, Comment et Pourquoi ?</strong></p><p>Notre Robert a dans un premier temps fait sa transition sociale, c’est-à-dire qu’il a commencé à se faire appeler par son nouveau prénom : Catherine et il s’habille et ce genre désormais au féminin. Mais es ce que ces artifices font de Robert une femme ?</p><p>Pour les autrices, non, cela ne fait pas de Robert une femme et elles vont bien plus loin en qualifiant Robert d’Autogynéphilie. Mais qu’est-ce l’autogynéphilie ?</p><p>C’est s’imaginer étant du sexe opposer, c’est-à-dire dans l’acte sexuel s’imaginer être une femme « baisée ».</p><p>Mais comment peut, on être amené à ce genre de chose ? Qu’elle est la porte d’entrée ? Le Porno bien sûr ! Tellement de Tag existe et nous questionnent sur notre sexualité que ce soit le Sissy Porn (le fait de féminiser un Homme de force), Shemale, Futanari.</p><p>Ce terme d’Autogynéphilie qui passe pour une déviance est décrié par les militants trans et pourtant… Il a été popularisé par un Homme Transsexuel du nom d'Anne. A. Lawrence dans son ouvrage « Des Hommes coincé dans des corps d’Hommes ».</p><p>Bien sûr, c’est une raison parmi tant d’autres que nous allons découvrir au fil de cet essai.</p><p>D’ailleurs que ce soit cette raison ou une autre la transition peut être très mal perçu par l’entourage et ça notre Robert en fait les frais… Mais qu’importe.</p><p>À cœur vaillant, rien n’est impossible.</p><p>Que ce soit « l’Addiction au porno, l’autogynéphilie, l’homosexualité refoulée, les souffrances engendrées par l’incapacité à répondre aux attentes genrées, désir de soumission associé à la féminité, anomalie physiologique » = Transmania.</p><p>Il faut de tout pour faire un monde.</p><p>Sauf qu’il y a un petit problème dans ce tableau idyllique.</p><p></p><p style="text-align:center;"><strong>Robert dit qu’il est lesbienne</strong></p><p>Et oui, les trans armé de leurs bites de femmes investissent aussi les milieux Lesbien, pourquoi les lesbiennes leur ferment-elles les portes ? Ne sont-elles pas des femmes comme elles ? Sauf que… Une femme est lesbienne, car elle n’aime pas les hommes et leurs pénis.</p><p>Et ça, ça a du mal à passer pour Robert et ces consœurs, les lesbiennes refusant les trans femmes sont alors ostraciser, menacer et traiter tels des TERFS pour avoir osé dire ne pas être attiré par les femmes trans.</p><p>Oui, je sais, ça peut paraître très caricatural, mais les faits divers montrent que ce système de pensée est loin d’être marginal. 14 avril 2023 des transgenristes ont défoncer la vitrine du bar lesbien : la Part des Anges et des lesbiennes ont été agressé par un homme transgenre pour avoir brandi des pancartes telles que « les femmes lesbiennes n’aiment pas les pénis ».</p><p>Et si ce n’est que cela…</p><p><strong>Robert s’achète un nouveau sac de sport rose.</strong></p><p>Alors je préviens ce thème est plus que glissant et les propos tenus ont été écrit avant les JO. Sur ceux, je reprends, le thème aborder est comme vous l’avez deviné les trans dans le sport et les problèmes que ça implique.</p><p>Déjà, avant même de parler des JO, on peut évoquer ce qui est arrivé le 7 mai 2023, soit la victoire d'un homme trans féminin dans une course de 200 mètres féminine. De plus, Halba Diouf a réussi la performance de passer de 980e place nationale à la 58e en étant chez les femmes.</p><p>Et si iel était seul (e), on n’oublie pas Lia Thomas qui avait fait scandale et qui a ouvert un débat :</p><p>Doit-on accepter dans nos vestiaires des femmes trans non opéré, donc des femmes à pénis ?</p><p>Et doit-on les accepter dans d’autres lieux plus particuliers ?</p><p></p><p></p><p><strong>L’Univers carcérale</strong></p><p>En France, la question ne s’est posée qu’une seule fois et il n’y a eu pour le moment aucun problème. Mais chez nos voisins, c’est une tout autre paire de manches.</p><p>En effet, certains transsexuels profitent de leur transidentité pour se faire incarcérer afin de violer des femmes (ils sont d’ailleurs inculpés pour viols.).</p><p>Ils répondent aux noms de Karen White, Ramel Blount, Barbie Kardashian, Christine Chandler, Sarah Jane Parker, Jerry Brudos, Duane Owen et le célèbre Ed Gein.</p><p>Toutes ces personnes s’autodéterminent comme trans femme et pourtant les militants transgenristes rétorquent qu’ils ne le sont pas. Tout en prônant l’Auto-détermination.</p><p>Vient alors la question à un million qu’est-ce qu’être une femme ?</p><p></p><p><strong>Quand Robert veut transitionner pour devenir Catherine</strong></p><p>Car oui pour Robert dire qu’il est Catherine, c’est bien (transition sociale) mais l’être, c’est mieux !</p><p>Et pour devenir une femme, rien de mieux que les Hormones de synthèse et les multiples opérations. Seule ombre au tableau, c’est des traitements à vie et dangereux (outre le fait que les diverses hormones à la base n’étaient pas du tout assignées à transitionner). Après, on peut être une femme sans pour autant passer par l’opération (Il faut savoir que nous ne sommes pas encore au point au niveau de ces opérations.).</p><p>Même si cette affirmation ne fait pas consensus chez les trans/Intersexe.</p><p></p><p style="text-align:center;"><strong>Les trans qui pensent que Robert est deglingos</strong></p><p style="text-align:center;"></p><p>Comme dit plus haut et tout le long de ce résumé Robert est une minorité bruyante et ne représente en rien la majorité des trans, bien au contraire.</p><p>Dans ce chapitre, les deux autrices sont allées à la rencontre d’une personne transsexuelle Madeline Le Pollès et Alexandra une intersexe.</p><p>Les deux témoignages sont assez riches et je n’ai pas la prétention de pouvoir les retranscrire.</p><p>Mais je dirais qu’ils sont importants à écouter si vous voulez un son de cloche différent de ce qu’on voit sur Twitter.</p><p>Sur ceux, continuons notre voyage…</p><p><strong>Embrigader les jeunes femmes ou quand Robert découvre les Discord militants</strong></p><p>Pour le coup, je pense que tous ce